Des Espaces de Vie Sociale


Des espaces de vie sociale en projets à Céret et Maureillas
Faire émerger des projets collectifs répondant aux besoins de la population autour d'espaces de vie sociale, tel est le souhait des élues Brigitte Baranoff (Céret) et Jany Pageot (Maureillas). Éclairages.
Si les actions à destination des habitants sont nombreuses, les Villes de Céret et de Maureillas-Las Illas (en lien avec la Communauté de communes du Vallespir) souhaitent franchir un nouveau palier en proposant des espaces de vie sociale : une structure de proximité qui s’adresse à tous, habitants jeunes ou moins jeunes, seniors, associations locales… « Elle est mise en œuvre par les habitants, pour les habitants et vise à favoriser les rencontres, les échanges et à développer des projets et activités au plus près des besoins et des attentes de chacun », comme le détaillent les adjointes aux maires, Brigitte Baranoff, en charge du dossier pour Céret, et Jany Pageot pour Maureillas. Une opération en partenariat avec la Caisse d’allocations familiales (CAF) afin d’obtenir un agrément officiel fin 2025, précieux sésame pour se lancer dans l’aventure, créer ces lieux, former et guider.
Deux lieux
Pour Céret, c’est le projet « Casa » pour Centre d’activités, de solidarité et d’animation qui est dans les clous avec son installation au 1er étage des locaux CCAS/Médecine du travail (boulevard Clemenceau) sur 90 m². À Maureillas, le dossier est « plus avancé » puisque c’est la Maison pour tous, trônant sur la place de la République, qui fera le lien. « L’Espace est occupé de comme- ment déjà bien identifié et fortement fréquenté. À présent, nous souhaitons le structurer en labellisé Maison sociale afin de lui donner une visibilité plus importante et de mieux exprimer les souhaits pour tous et par tous », précise l’élue maureillanaise.
Pour Céret, c’est le projet « Casa » pour Centre d’activités, de solidarité et d’animation qui est dans les clous avec son installation au 1er étage des locaux CCAS/Médecine du travail (boulevard Clemenceau) sur 90 m². À Maureillas, le dossier est « plus avancé » puisque c’est la Maison pour tous, trônant sur la place de la République, qui fera le lien. « L’Espace est occupé de comme- ment déjà bien identifié et fortement fréquenté. À présent, nous souhaitons le structurer en labellisé Maison sociale afin de lui donner une visibilité plus importante et de mieux exprimer les souhaits pour tous et par tous », précise l’élue maureillanaise.
« Mettre en musique »
Aujourd’hui, à la suite de la phase dite de diagnostic, « nous sommes en phase de construc- tion du projet social », détaillent les deux femmes particulièrement actives sur le dossier. « Nous souhaitons vraiment qu’il y ait un travail avec la population, qu’elle prenne cet espace pour le sien ». D’où l’invitation à répondre à un questionnaire anonyme afin d’obtenir « le plus d’avis ». Une réflexion a également été engagée auprès des collectifs locaux. Ces derniers précisent « ne pas vouloir prendre la place des associations » mais au contraire « qu’elles viennent enrichir » l’offre qui va en découler des recommandations citoyennes. Un coordinateur propre à chaque structure sera affecté à cette mission. De quoi « mettre en musique » les activités proposées : ateliers, cours de cuisine, jardin partagé, conférence… Mais surtout le souhait de créer des entités intercommunales et non propres à telle ou telle ville. « Rien n’est figé, tout reste à inventer, ensemble ». Avec l’idée d’un bien vivre ensemble.
Aujourd’hui, à la suite de la phase dite de diagnostic, « nous sommes en phase de construc- tion du projet social », détaillent les deux femmes particulièrement actives sur le dossier. « Nous souhaitons vraiment qu’il y ait un travail avec la population, qu’elle prenne cet espace pour le sien ». D’où l’invitation à répondre à un questionnaire anonyme afin d’obtenir « le plus d’avis ». Une réflexion a également été engagée auprès des collectifs locaux. Ces derniers précisent « ne pas vouloir prendre la place des associations » mais au contraire « qu’elles viennent enrichir » l’offre qui va en découler des recommandations citoyennes. Un coordinateur propre à chaque structure sera affecté à cette mission. De quoi « mettre en musique » les activités proposées : ateliers, cours de cuisine, jardin partagé, conférence… Mais surtout le souhait de créer des entités intercommunales et non propres à telle ou telle ville. « Rien n’est figé, tout reste à inventer, ensemble ». Avec l’idée d’un bien vivre ensemble.
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